Biographie de Catherine Barneron
Catherine Barneron est née officiellement en 1965 dans le sud de la France mais il est possible qu’en fait elle soit née en 1963. En effet, beaucoup de mystère entoure sa naissance. C’est ainsi qu’elle est passée de bras en bras étant petite et de nourrice en nourrice avant de finalement grandir jusqu’à ses 6 ans chez son parrain et sa marraine. Elle a ensuite été replacée chez sa “mère” légale, à Bagnols-sur-Cèze, chez qui elle vivra l’horreur pendant plusieurs années avant d’être placée à la Ddass vers 12 ans.
En effet, elle fut le souffre-douleur de sa mère ainsi que de son beau-père et de ses frères et sœurs. Violences psychiques et physiques, viols, humiliations, rien ne lui sera épargné durant son enfance. C’est d’ailleurs ce calvaire qu’elle décide de raconter des années plus tard dans son livre “Et pourtant tu étais ma maman”, lorsqu’elle se met à enquêter sur les tabous et les non-dits de famille afin de reconstruire tout un pan de son passé dont elle n’a pas connaissance.
Aujourd’hui elle a deux enfants et a été mariée mais il semble, selon son ouvrage, qu’elle ait fini par tuer l’homme violent avec qui elle vivait.
On ne sait finalement pas grand-chose de la vie de Catherine Barneron, hormis ce qu’elle veut bien en raconter dans son roman “Et pourtant, tu étais ma maman”.
L'avis de la rédaction à propos de cet(te) auteur(e)
J'ai été assez déçue par cet auteur. En effet, ce n’est pas le premier roman-témoignage que je lis et c’est en général le genre de lecture que j'apprécie. Son seul et unique livre retrace son enfance terrible auprès d’une "mère" qui n’aura de cesse de vouloir la faire souffrir. Autant j'arrive à être touchée par cette petite fille, autant la femme, elle, ne m'a pas touché.
Son récit semble n’être qu’une sorte de justification à ses actes présents. Je trouve vraiment dommage qu’elle ai décidé de modifier les noms des personnes et des villes dans son récit car quitte à vouloir faire éclater la vérité au grand jour et à régler ses comptes, autant assumer jusqu’au bout la démarche en ne cachant pas ce genre de chose. D’autant plus qu’elle n’a aucune raison de vouloir protéger les personnes dont il est question dans le récit puisque ces personnes lui ont fait vivre le pire.
Je pense qu’il existe de bien meilleurs romans que le sien sur le thème de "l’enfant martyre" et de plus je pense que, contrairement à d’autres témoignages existants, ce récit ne fera pas avancer la cause, si ce n’est sa cause à elle.
L’avis de la rédaction est purement personnel et nous ne prétendons en aucun cas que cette critique littéraire soit à prendre comme une vérité absolue. Nous vous invitons donc à laisser votre propre critique dans les commentaires et à noter ce livre afin d’avoir un avis général représentant au mieux la foule des lecteurs.
Inciane
7 décembre 2022 à 5h32Un livre que j ai appréciez lire mais trop de zone ombre histoire compliqué qui laisse le lecteur dans la quête de savoir si la vérité a éclater ou pas pourquoi ne pas devoile leur vrai non finalement sa aurai peut être fait bouge plus les chose après le lecture j ài encore plus de question
Mais j ai apprécié le livre mais pas les million de question qui me sont venue sur la fin